Amaury n'en est pas à sa première conférence sur un WordCamp. Il est bien impliqué dans la communauté WordPress. Il animera une conférence où il passera en revue les points faibles de ce CMS.
Qui est-tu ?
J'ai participé à la création d'un certain site "WordPress Francophone" courant 2005 pour lancer la dynamique "WordPress" en France, notamment grâce à mon implication importante durant les premières années (barcamp/1er WordCamp).
Développeur WordPress de 2005 à 2009, j'ai par la suite fondé l'agence WordPress Be API dont je suis désormais le CEO et ce, afin de répondre aux projets digitaux d'envergure réalisés avec ce CMS.
Comment contribues-tu à WordPress ?
Je contribue depuis 2005 au développement de l'écosystème WordPress en France, par de nombreux biais.
Mon implication bien sûr durant les premières années dans l'association, l'organisation des premiers barcamps, WordCamp.
Quelques ressources pédagogiques sur le sujet (livre, DVD)…
Et bien entendu de nombreux projets open-source partagés sur Github mais également sur WordPress.org, dont Simple Tags (près de 2M de téléchargements au compteur)
Qu'aurons-nous appris à l'issue de ta conférence ?
Nous connaissons tous les qualités de WordPress. Nous connaissons certainement quelques-uns de ces points faibles, la sécurité par exemple.
Mais c'est loin d'être le seul point faible de WordPress, l'idée en sortant de cette conférence c'est d'en avoir davantage conscience, pour vous permettre ainsi de mieux défendre votre CMS favori lors de la prochaine compétition 😉
Que conseilles-tu à ceux pour qui le WordCamp Paris 2018 sera la première expérience en tant qu'orateur ?
Des conseils pratiques surtout.
Préparer sa conférence et le support en avance (1 mois avant ?) La jouer, la défier avec des collègues, des amis pour obtenir des retours critiques. Pas de format exotique (genre le format HTML5 qui bug le jour J), pas de dépendance absolue à Internet (ça ne marche jamais) Ne lisez pas vos slides, donc n'y mettez que des titres ou des images.
C'est bête, mais ça arrive bien souvent, et ça fait déjà 1/3 du succès de la conférence AMHA.